Les chemins de l’alchimiste de Claude Diologent

1560, Rouen. Alors que la guerre de religion entre catholiques et protestants fait rage, Johannes Balsamo, médecin alchimiste, poursuit l’initiation de Martin à l’art des élixirs. Pour le jeune apprenti, les choses paraissent simples et sa voie tracée. Mais son destin va le bousculer. Bientôt contraint de fuir la persécution, Martin part en exil.
Forcé de protéger son savoir et de passer entre les mailles d’un mal rôdant dans toute l’Europe, quels chemins Martin devra-t-il parcourir pour accomplir le Grand Œuvre et obtenir la Pierre Philosophale, Mère de toutes les médecines ?
Claude Diologent nous livre un roman initiatique riche, combinant l’aventure, l’amour et la plongée dans le monde secret des alchimistes de la Renaissance, en se basant sur d’authentiques recettes. Suivre sans relâche sa quête intérieure au milieu des turbulences du monde est un chemin intemporel.

L’avis de Rezo Sacrée Planète

« Voilà une façon originale et très agréable de découvrir l’œuvre alchimique. L’histoire se passe dans la seconde moitié du XVIe siècle. C’est l’époque des guerres de religion, Papistes et huguenots s’affrontent et un grand climat d’insécurité règne dans le pays. C’est sur cette toile de fond que Martin, apprenti apothicaire, va être initié au grand Œuvre. Il faut être discret et diplomate car les Huguenots sont sur le qui-vive et l’église catholique ne voit pas d’un bon œil ces pratiques « magiques » qui menacent son autorité et son pouvoir. Il est probable que les plus hauts dignitaires rêvent de s’emparer de cette connaissance permettant de transformer le plomb en or et de fabriquer l’élixir de longue vie. L’inquisition a encore cours et les alchimistes se cachent.
L’idée de suivre un apprenti est une excellente façon de révéler l’œuvre alchimique. Nous découvrons la pratique de l’alchimie au rythme de ses progrès. Nous profitons de ses expériences et découvertes au fur et à mesure qu’elles surviennent tout au long de sa vie.

L’alchimie n’est pas uniquement une histoire de laboratoire et de transmutation de matières physiques. C’est aussi une question de cheminement intérieur de l’être et c’est tout l’intérêt de ce « roman » au-delà de l’histoire qui est bien menée et bien documentée.

« Le secret a un prix ascèse, patience, humilité. Cela signifie que le maître ne peut agir qu’en harmonie, qu’en accord profond avec le Ciel et la Terre… » L’intention pure et l’attitude juste sont essentiels à la réussite de l’Oeuvre, le reste est donné par surcroît. Ceci est bien montré dans le roman et cette vision de l’alchimie n’est pas si courante.
Les « littéraires » y trouveront leur compte car c’est joliment écrit dans un langage imagé et pittoresque. On y  trouve des mots anciens, aujourd’hui disparus qui avaient de belles sonorités.
Mettre ses pas dans ceux de l’alchimiste fut un vrai plaisir, merci M. Diologent. (Marie-Hélène Courtat Pour RSP)

UNE BANDE ANNONCE SUR LE LIVRE
Bande annoncehttps://www.youtube.com/watch?v=IwwJuuW_674&t=80s

A PROPOS DE L’AUTEUR
Né en 1957, Claude Diologent est d’abord instituteur et formateur puis il change de vie en devenant professeur d’Eutonie. Revenu dix ans plus tard dans l’éducation nationale, il se consacre à mettre en place une éducation globale de l’enfant et propose un atelier philo dans sa classe. Soutenu par un ami alchimiste et par la rencontre de plusieurs maîtres de méditation tibétains et orthodoxes, il se lance dans l’écriture. « Les chemins de l’alchimiste » est son troisième roman.

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Editions de l’alchimiste. En vente directe chez l’editeur :
https://editionslalchimiste.com/produit/les-chemins-de-lalchimiste/
Paru en mars 2021

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Ce que certains lecteurs en ont pensé…

« Je viens de vivre 3  jours de bonheur intense. Que dire…Tout est dans mon intérieur profond, émotions plein d’émotions. Moi qui suis marcheur, j’ai voyagé oui j’ai voyagé.
D’abord à Rouen, je n’ai pas connu le Rouen de cette époque, mais je sais où les choses se passent. La fontaine de la Croix de Pierre, avec ses deux boulangeries une en face de l’autre. Maintenant quand j’y pense, je vois Norine et Martin assis là tout les deux… Et puis ces clin d’œil à Saint Jacques, quel bonheur, j’ai fait le Camino en mai 1999, depuis cet envol avec mon être, je ne me sens plus jamais seul…
Autre chose qui m’a touché, très fort, Vézelay. Chaque jour j’étais attiré comme un aimant, oui un aimant…Vers ce refuge ce sanctuaire, j’ai vibré moi aussi très fort dans la basilique et dans la crypte.
Et puis la Provence… Parce que  » io soï Provençaou!!! » Merci pour ce retour « Al Païs ».
Merci pour cette belle histoire !!! J’en suis remplie, plein. Maintenant j’ai de nouveau amis, qui m’accompagnent dans mes méditations, avec ceux qui y sont déjà… La famille s’agrandit, comme mon coeur qui au fil de chaque page a grandi encore un peu plus… »

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 » Il y a des livres quand on les ouvre qui battent des ailes . Celui de Claude Diologent fait partie de ceux là. Le Secret de notre existence ne peut être enfermé entre des phrases . L’auteur nous incite à vérifier sa Présence en descendant au cœur du cœur de notre Soi . Un Soleil sans couchant « 
(Sarah Saint Yves mars 2020)

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« Je ne t’avais peut-être pas encore félicité pour l’agencement de cette histoire où l’Amour et les nobles valeurs donnent le courage nécessaire à des cœurs vaillants pour tracer leur chemin vers la Lumière de la connaissance, malgré les embûches. On sent qu’il y a une belle recherche historique également derrière tout cela ». (MD)

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 » Monsieur Diologent, Je tenais à vous dire que j’ai beaucoup apprécié votre livre, tant dans le fond que dans la forme. C’est un vrai travail d’érudit. Je trouve votre style extrêmement plaisant, intéressant, original et surprenant quant à certaines tournures. Bref, je me suis régalé alors même que si je ne possède pas moi-même de « plume », je suis un grand lecteur (en quantité du moins) et je peste assez régulièrement sur la littérature ou pseudo littérature actuelle, qui selon moi bien souvent n’est que production d’écrit. »